L'histoire de Castelmaurou disponible en livre
Castelmaurou et ses habitants de Marc Hureau
Marc Hureau a publié un livre sur l'histoire de Castelmaurou du XIXème siècle.
Passionné par l'histoire et les documents anciens, il a décidé de se plonger dans 200 ans de l'histoire de Castelmaurou : les habitants avec ses métiers et ses modes de vie, les changements dans la commune et les anciennes demeures...
La Mémoire en Bandoulière - Groupe de recherches des fusillés du bois de la Reulle
Le 27 juin 1944, seize résistants, sortis de la prison Saint-Michel à Toulouse, sont amenés par un peloton de SS dans le bois de la Reulle limitrophe des communes de Gragnague et de Castelmaurou. Ils sont fusillés un par un, sauf un qui parvient à s’enfuir.
Exhumés après la libération de Toulouse, dix corps sont reconnus par leurs familles ou leurs proches. Les cinq autres sont inhumés dans un cimetière. Trois identités sur cinq ont été découvertes. Les recherches se poursuivent pour l’identification des derniers résistants.
Castelmaurou De Souffle et de Brique de Georges Muratet et Didier Pitorre
Castelmaurou ne date pas d’hier. Ni d’avant-hier, d’ailleurs.
Il faut, pour effleurer ses racines, remonter loin dans le temps. Il importe, pour y parvenir, de bousculer ce dernier des siècles durant.
En tout cas, jusqu’en octobre 1106, au moins.
Cette date est inscrite en haut et à droite du document le plus ancien connu à ce jour concernant le village.
Disponible à la médiathèque
Les Martyrs du Bois de la Reulle de Georges Muratet - Editions de la Diège
Le Bois de la Reulle est posé sur la commune de Gragnague voisine de Castelmaurou dans le nord-est toulousain.
A l'orée de l'espace boisé, une clairière toujours entretenue protège en son sein une stèle sur laquelle la main de l'homme a gravé quinze vies figées depuis le 27 juin 1944.
Au fil des pages, deux petits villages nous rappellent les drames vécus jusqu'à la Libération.
Enfant du pays, Georges Muratet, fidèle à la mémoire de sa terre, signe son sixième livre.
Castelmaurou, citadelle de Mauron de Georges Muratet (édité à compte d'auteur) - Préface de Gilles Perrault
Singulière entreprise que celle-ci ! Georges Muratet qui n'est ni historien, ni romancier, entreprend d'écrire l'histoire romancée de son village de Castelmaurou, aux portes de Toulouse. Avec modestie, il prévient son lecteur, qu'il n'est ni Braudel, ni Le Roy Ladurie et avoue avoir comblé à force d'imagination les failles énormes trouvées dans la documentation. Le sérieux de son travail apparaîtra cependant à tout esprit équitable. Chaque fois que ses recherches l'ont conduit à une authentique découverte - document ancien ou savant ouvrage enseveli dans la poussière des bibliothèques - il sait nous en livrer le sens et la saveur.
Disponible à la médiathèque
A la poursuite du vent de Georges Muratet - Edition de la Diège
Alors que son petit village de la banlieue toulousaine se prépare à fêter le bicentenaire de la Révolution française, Julien, victime d'un accident de la route, soigne ses blessures.
Auteur d'une pièce, il rassemble la jeunesse de Castelmaurou pour monter une soirée théâtrale dédiée à l'évènement.
Mais le danger rôde, Un dealer fait des ravages. De main en main, la drogue s'échange...
Les enfants de l'écluse de Georges Muratet - Editions de la Diège
Pendant que Roland et Thierry, passionnés par les racines humaines, se plongent dans le passé ferroviaire toulousain et du quartier Marengo, leurs camarades du Dépôt SNCF mènent une bataille exemplaire pour la construction d'un centre de maintenance d'avenir.
A l'aide de dialogues croustillants, Georges Muratet, cheminot depuis peu retraité, nous entraîne dans l'histoire vraie du chemin de fer en pays toulousain et Midi Pyrénéen, de ses balbutiements jusqu'à nos jours. Et aux côtés de la découverte du passé, s'imbrique en permanence l'engagement des hommes en bleus de travail dont le regard reste fixé sur l'avenir du service public ferroviaire.
Rupture ou la Grève de Georges Muratet - Edition Privat
Décembre 1986 : pendant trois longues semaines d’un mois au climat rigoureux, toute la profession cheminote décide d’arrêter le travail.
En cause, l’évolution de carrière au mérite et la mise au pas des organisations syndicales fières de lutter afin de développer le service public ferroviaire.
Jusqu’à la reprise du travail entre deux haies de CRS…